[Il fallait y penser] Eden, le retail-park «instagrammable » d’Apsys
Pour accroître la notoriété de son nouveau centre commercial très familial sur les réseaux sociaux, Apsys a eu l’idée de peindre sur les murs des galeries, cinq décors en forme de cadre, qui invitent les visiteurs à «venir parfaire leur feed Instagram » !
On connaissait les «selfie corners » des boutiques de mode ou de déco, notamment développés dans les pays anglo-saxons. Apsys a installé ses propres «selfie points » aux détours des 35 000 m² et 53 unités de commerces du retail-park Eden, inauguré mercredi 18 septembre 2019 à Servon (77), au cœur de la Brie.
Carte postale en trompe-l’oeil
L’idée est aussi simple à installer qu’astucieuse. Dans cinq endroits du centre commercial, ont été peints sur les murs des galeries à ciel ouvert, des décors destinés à servir de fond pictural à un selfie. Ici, une pluie de feuilles automnales multicolores ; là, une skyline stylisée de ville américaine ; ailleurs, une carte postale en trompe-l’œil «greetings from Eden, Servon, send with love »… Le cadre rectangulaire de la future photo est même dessiné. Et un logo est accompagné de l’invitation «venez parfaire votre feed Instagram ». A partir de là, il ne reste plus qu’à prendre la pose, immortaliser sa visite, et partager.
Partage sur les réseaux sociaux
«Au-delà de l’offre commerciale, nous avons voulu, à Eden, développer une expérience de visite ludique et pleine de fantaisie, explique Pauline Cardinaud-Felix, la responsable communication du groupe. A l’ère d’Instagram, nous avons créé ces murs à selfies qui, au-delà de leur aspect décoratif, ont pour vocation de permettre aux clients de se prendre en photos et de les afficher sur les réseaux sociaux… ». Belle astuce pour ce centre destiné aux familles, jouant la carte de la convivialité et du shopping à taille humaine, conçu comme « une promenade piétonnière et végétale ». Démonstrations en photos, avec Jean-Baptiste Suire, le directeur du projet Eden, qui a accepté de prendre la pose pour LSA.
Prises de vues avec Jean-Baptiste Suire, le directeur du projet Eden