
Le principe
IBM, éditeur informatique, a sorti à l’occasion du Retail’s Big Show, à New York, plusieurs solutions de commerce cognitif. Il s’agit de s’appuyer sur les outils informatiques et de les coupler à de l’intelligence artificielle. Exemple d’application, la page d’accueil d’un site changera selon les clients, s’adaptant à leurs goûts personnels. Ces informations découleront de l’historique d’achats, mais aussi de l’ensemble des données personnelles distillées sur les réseaux sociaux. Par ailleurs, IBM a aussi recours au langage naturel pour guider l’internaute dans son choix de produit via un système de questionnaire, du type « Je cherche une robe bleue pour un mariage en juin à Bayonne. » Les mots clés recoupés avec les goûts vestimentaires de l’internaute identifiés sur les réseaux sociaux déboucheront sur une sélection de produits.
Le potentiel : élevé
En ligne, les conseils vendeurs se résument surtout à des guides d’achat pas toujours sexy à lire et génériques. Avec le commerce cognitif, on apporte du conseil selon les goûts des clients et non selon un temps fort commercial.