Pour la première fois, depuis sa création, Charles & Alice tente de se développer en dehors du marché des
compotes fraîches. En ligne de mire, les desserts végétaux implantés au rayon ultrafrais juste à côté des yaourts. Ce segment, qui pèse 80 millions d’euros et 25000 tonnes, ouvre les appétits. On y trouve déjà Sojasun, A Bicyclette (griffe de la coopérative Eurial), les marques Alpro, Bjorg ou Andros. Avec 1,5 million de nouveaux
consommateurs venus à ce type de produits depuis ces trois dernières années et une croissance des volumes de 2,5% (à P3 2018, selon Iri), Charles & Alice a bien l’intention de s’y faire une place. Mais à sa façon, c’est-à-dire en offrant des produits à la fois gourmands, préparés à base de trois types de laits végétaux (coco, amande et noisette), et riches en fruits (40% de fruits). La gamme se décline en deux formats: cinq références de pots bicouches vendus par deux (lait de cocopomme-citron vert, lait d’amandeframboise, lait d’amande-abricot, lait de noisette-nectarine) et trois références sous forme de bouteilles de 240 ml vendues à l’unité (lait de cocomangue passion, lait d’amande-poire vanille, lait de noisette-banane vanille).
Pour ce lancement, la marque table sur un soutien promotionnel, de la PLV en rayons, des dégustations, ainsi qu’une campagne de communication d’ici à la fin de l’année.
La PME du Sud-Est innove sur ses desserts aux fruits sans sucres ajoutés. Pour dynamiser le segment et offrir des produits aux propriétés[...]
Desserts , Crèmes dessert , Crémerie
L’innovation, le travail sur les filières et la diversification vers l’adulte des leaders permettent à la catégorie de se poser comme[...]
Marchés , Produits Biologiques , Fruits et légumes