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Quel avenir pour le groupe Doux ? La réponse à cette question semblait très incertaine il y a encore peu de temps. Le volailler, placé en redressement judiciaire en juin 2012, cumulait alors 400 millios d’euros de dettes. Depuis, le groupe se serait refait une santé et table sur un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros en 2015. Didier Calmels, qui détient le volailler depuis 2014 à hauteur de 75 %, cèderait son capital. Pour rappel, le reste du capital est détenu par le groupe saoudien Almunajem, le principal client de Doux à l’export.
Sofiprotéol et Terrena dans les starting blocks
Pour racheter le groupe Doux, les postulants seraient nombreux. Le quotidien Ouest-France parle en effet d’éventuels acheteurs chinois et brésiliens. La piste d'un groupement de six entreprises, qui avait déjà fait une offre de reprise non retenue lors du dépôt de bilan de Doux en 2012, seraient sur la liste.
Dans cette offre figure Sofiprotéol, qui serait en discussions pour la partie des volailles à l’export. Le groupe coopératif Terrena se positionnerait à nouveau sur la branche de produits élaborés sous marque Père Dodu, précise encore le quotidien.